Les landes écossaises s’étendaient par-dessous un ciel bas, où le vent rugissait entre les montagnes et les falaises abruptes. Dans cette mappemonde préciosité par la mer et la tempête, où les histoires se transmettaient à voix basse au périmètre du gerbe, la voyance n’était pas un art oublié. Elle vivait toujours les caractères gravés sur la diamant, dans le escroquerie des corbeaux, dans les formes tracées sur le support d’un lac endormi. À l’écart d’un petit village, anonyme entre les bruyères et les ruines d’un traditionnel temple païen, vivait un être humain avec lequel le titre était murmuré avec aussi bien de peur que de justesse. Magnus MacAlistair était un érudit, un être humain des initiales et du hublot, mais bien davantage, il était un maître des runes, un gardien du savoir ancestral. Ses soi, tachés par l’encre et la poussière des grimoires, retraçaient journaliers les personnes d'âge mûr caractères qu’il étudiait, recherchant à dire leurs secrets. La voyance des immémoriaux Celtes ne se manifestait pas via les cartes ou les cristal, mais dans l’écriture sacrée divin. Les auspices n’étaient pas des prénoms : elles formaient un langage méconnu, une entrée permettant d’ouvrir les portes du destin. Magnus les burinant sur des morceaux de but, les jetait au sol et observait leur entendement, surfant dans leur fouillis apparent l’ordre voilé du entourage. Cette nuit-là, tandis que le vent hurlait touchant à les fenêtres de sa demeure, il s’installa à son bureau, une crâne vacillante éclairant ses parchemins éparpillés. Il avait rêvé d’un marque identitaire méconnu, une rune qu’il ne reconnaissait pas et qui semblait l’appeler via les âges. Une voyance venue d’un autre années, une information perdu entre les brumes du passé et les obscurcissements de le destin. Il plongea la coeur dans un sac de cuir et en sortit ses auspices gravées. Il les laissa tomber sur le filet de la table, choisissant de faire leur agencement avec une sollicitude fiévreuse. Les symboles chaque jour lui apparaissaient : Fehu, la recette ; Algiz, la défense ; Hagalaz, l'élimination. Mais parmi eux, un modèle étrange s’était dessinée, un tracé qu’aucun livre ne mentionnait. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale. La voyance lui envoyait un mémoire. Quelque chose, tapi dans l’ombre du passé, tentait de lui émettre. Et il savait que l’ignorer reviendrait à bien assurer son destinée.
Le vent se leva brusquement sur le plateau désert, déclenchant la bruyère et déplaçant les haillons de brume qui s’accrochaient aux pendentifs. Magnus MacAlistair resta agenouillé devant le monolithe brisé, les soi encore posés sur la rune inconnue qu’il venait de révéler. L’air lui semblait plus lourd, chargé d’une tension inapparent, par exemple si le communauté retenait son essence. La voyance l’avait guidé jusqu’ici. Mais sur-le-champ qu’il se trouvait devant la vérité, il n’était plus dans la lapalissade de de vouloir l’entendre. Les runes gravées sur la gemme racontaient un récit oubliée. Ce cercle n’était pas un riche vestige d’un ancien adoration, ni un autel de sacrifices notamment le racontaient les anciennes fictions. Il était un poinçon, un verrou posé par les seniors druides pour emprisonner quelque chose qui ne devait jamais représenter réveillé. Magnus passa une main tremblante sur les inscriptions effacées par le temps. Le mot central se distinguait enfin. ' Fermeture. ' Un avertissement laissé par ce que étaient venus premier plan lui. Mais il était colossalement tard. Une vertu froid parcourut le sol, un tremblement si léger qu’il aurait du émerger inaperçu s’il n’avait pas posé ses doigts sur la gemme. Puis, lentement, une fissure se propagea à la surface du monolithe, serpentant entre les inscriptions tels que une racine indiscernable cherchant à s’étendre. Magnus recula d’un pas, les battements de son cœur résonnant dans ses tempes. La voyance l’avait averti, mais il n’avait pas compris le signal à années. Le jalon se brisait. Un intelligence glacé s’échappa des entrailles du globe, suscitant la poussière et les feuilles mortes dans une spirale silencieuse. Autour de lui, les corbeaux s’envolèrent d’un même mouvement, poussant des cris stridents qui se perdirent dans le vent. Le silence retomba, plus pesant encore qu’avant. Magnus savait qu’il venait d’ouvrir une porte qui n’aurait jamais dû être franchie. Les immémoriaux avaient enfermé quelque chose ici, et désormais, ce illuminé venait de se prendre. Il ignorait encore ce qui allait advenir, mais il savait une alternative nettement. La voyance ne l’avait pas conduit ici à titre gracieux. Et bientôt, il en comprendrait le véritable niveau de prix.
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